Notre liste est signataire de la charte « cantine sans plastique ».
Signée le 25 janvier 2020.
Le 17 février 2020 nous sommes la seule liste à avoir signé cette charte.
Il ne suffit pas de se peindre en vert pour être écolo !
Notre liste est signataire de la charte « cantine sans plastique ».
Signée le 25 janvier 2020.
Le 17 février 2020 nous sommes la seule liste à avoir signé cette charte.
Il ne suffit pas de se peindre en vert pour être écolo !
Anne, directrice de projet au sein d’une banque,
mariée et mère de deux filles de 18 et 20 ans
J’ai démarré ma transition écologique et personnelle il y a 3 ans. A l’occasion d’un burn-out, j’ai choisi le ralentissement pour mieux me connecter à moi-même et à mon environnement, ralentissement dans mon rythme quotidien, ralentissement dans ma consommation.
Vivre l’écologie environnementale et intérieure, c’est d’abord et avant tout, ici et maintenant. C’est donc naturellement au niveau local que je peux m’investir pour choisir ce que j’ai envie de vivre et contribuer au changement que je souhaite.
Mon implication dans la ville aujourd’hui, c’est d’abord dans le choix de l’alimentation de ma famille. Nous privilégions des circuits courts : nous sommes membres d’une AMAP et nous privilégions également les producteurs locaux au marché de Versailles. Dans une optique de réduction des déchets, nous compostons au sein d’un jardin partagé de Versailles.
Pour moi, écologie intérieure et écologie environnementale vont de pair. J’expérimente la communication non violente et la gouvernance partagée et cherche à les introduire de plus en plus dans ma vie quotidienne. « La paix, ça s’apprend », je reprends à mon compte les mots de Thomas d’Ansembourg – psychothérapeute et formateur en communication non violente – et mon rêve serait que la communication non violente et un vivre ensemble dans une forme de gouvernance partagée s’apprenne dès l’école !
Je suis également passionnée de théâtre et suis membre du jury des Ptits Molières, association visant à promouvoir les spectacles dans des salles de moins de 100 places. Le théâtre est également un moyen de contribuer au changement, dans une saine confrontation.
« Nous avons grandi en pensant que nous étions ses propriétaires [de la terre] et ses dominateurs, autorisés à l’exploiter. La violence […] se manifeste aussi à travers les symptômes de maladie que nous observons dans le sol, dans l’eau, dans l’air et dans les êtres vivants.
[…]
À présent, face à la détérioration globale de l’environnement, je voudrais m’adresser à chaque personne qui habite cette planète.
L’exposition aux polluants atmosphériques produit une large gamme d’effets sur la santé, en particulier des plus pauvres, en provoquant des millions de morts prématurées.
[…]
À cela, s’ajoute la pollution qui affecte tout le monde, due aux moyens de transport, aux fumées de l’industrie, aux dépôts de substances qui contribuent à l’acidification du sol et de l’eau, aux fertilisants, insecticides, fongicides, désherbants et agro-chimiques toxiques en général.
Des centaines de millions de tonnes de déchets sont produites chaque année, dont beaucoup ne sont pas biodégradables : des déchets domestiques et commerciaux, des déchets de démolition, des déchets cliniques, électroniques et industriels, des déchets hautement toxiques et radioactifs.
[…]
Nous n’avons jamais autant maltraité ni fait de mal à notre maison commune qu’en ces deux derniers siècles.
[…]
Il y a trop d’intérêts particuliers, et très facilement l’intérêt économique arrive à prévaloir sur le bien commun et à manipuler l’information pour ne pas voir affectés ses projets. »
Le Pape François dans Laudato Si’